Pour faire le bon choix, le consommateur doit assimiler le minimum de l’alphabet bio figurant parmi les indications ci-dessous : Ce qui définit un produit bio, c’est sa composition, et en particulier, l’origine des produits.
Par exemple, un paquet de biscuits labellisé AB (agriculture biologique) peut réunir 10 ingrédients bio, 4 intervenants autour du monde, 40 processus de certification.
Faire confiance aux labels de renommés comme Bourgeon, Demeter, Cosmébio, Ecocert et BDIH, et d’éviter de « patauger » dans la complexité des détails.
Bien repérer les labels, car il existe plusieurs labels bio qui n’offrent pas les mêmes garanties, ou ils n’affichent pas la totalité des informations.
Un regard sur l’emballage vous évitera les mauvaises surprises ! Savoir que les labels privés sont parfois plus exigeants que les labels officiels.
Leurs cahiers de charges sont plus exigeants et plus contrôlés.
Comprendre que les différences se font essentiellement aux niveaux de la fabrication, l’emballage, l’étiquetage, et l’origine des ingrédients.
Toute la chaîne de production doit satisfaire les critères écologiques et biologiques.
Enfin, les critères écologiques et biologiques sont : 95% au minimum d’ingrédients issus de l’agriculture biologique, pas d’usage de pesticide ni d’engrais chimiques, soutien du commerce équitable, et préservation de l’environnement.
Cette décision vient après que la SNCF ait revu sa politique tarifaire.
Sur les trois premiers mois de l'année, le chiffre d'affaires de PSA Peugeot Citroën a reculé de 7% à 14,3 Milliards d'Euros.