Paramétrer la taille du portefeuille Il faut le dire, c’est très plaisant de faire fructifier un portefeuille virtuel lors d’un jeu de bourse avec une forte somme sur son portefeuille.
Intéressant et grisant, mais complètement déconseillé de gérer un portefeuille virtuel d’un million d’euros si vous ne disposez que d’un bas de laine de 10000€ dans le réel.
Il faut le répéter on ne joue pas.
Selon la taille d’un portefeuille, les décisions de placement ne sont pas les mêmes.
Quand une action lambda varie de 1% à la hausse, cela fait tout de même un gain potentiel de 10000€ si vous avez investi un million, alors que la même opération peut s’avérer être perdante avec un portefeuille de petite taille, car des frais s’appliquent.
S’ancrer dans le réel Une fois la taille de votre portefeuille paramétrée pour apprendre la bourse au plus réel, il s’agit de se méfier de la perte des réalités face à un ordinateur et les incitations commerciales.
Souvent dans les investissements boursiers, on ne prend pas en compte les frais de bourse ou ce n’est pas indiqué lors des concours par exemple, or ils existent et sont importants.
Lors des simulations boursières, en général, les participants effectuent beaucoup plus de transactions que dans la vie réelle et c’est dommage, car il s’agit de s’entraîner à investir.
Investissez plutôt comme si c’était vraiment votre argent.
L’autre souci est qu’il n’y a aucun stress à gérer un portefeuille virtuel.
Regarder ce que font les meilleurs Un concours est toujours l’occasion de se frotter aux meilleurs, c’est le côté ludique de la compétition boursière qui est en fait souvent intraday, c’est-à-dire journalière.
Avec le palmarès des joueurs et leurs portefeuilles boursiers, vous pouvez analyser ce que font les autres et vous en inspirer.
L’autre chose à savoir c’est que contrairement à la réalité, dans une gestion virtuelle, vous n’avez pas de souci de liquidité au niveau des actions.
Dans la vie, ce n’est pas pareil, c’est la loi de l’offre et de la demande qui s’applique.
Cette décision vient après que la SNCF ait revu sa politique tarifaire.
Sur les trois premiers mois de l'année, le chiffre d'affaires de PSA Peugeot Citroën a reculé de 7% à 14,3 Milliards d'Euros.