Etre autonome Il est possible de débuter seul, mais il faudra s’attendre à quelques difficultés, car le manque de pratique peut parfois nous faire commettre des erreurs fatales.
Mais chaque erreur devra être prise en compte pour ne pas les recommencer.
Les journaux financiers sont d’une première aide précieuse et peuvent donner des conseils pour vous faire monter dans le domaine de la bourse, mais il faudra tout de même être prudent.
L’avantage de travailler seul est que vos gains seront plus importants, car vous ne passez pas par des intermédiaires.
Mais seuls l’expérience et le temps feront de vous un bon trader.
La simulation boursière, les SICAV et les OPCVM Pour investir sans se ruiner, la solution est la simulation boursière, c’est un bon moyen pour évaluer les différentes idées d’investissements.
Mais pour qu’une simulation soit la plus réaliste possible, il est important de connaître la totalité de ses investissements fictifs.
Il est aussi possible de se familiariser avec son portefeuille avec la même technique.
Om peut trouver des jeux de simulation boursière et se familiariser avec les réactions sur les marchés selon les informations reçues.
Il est important de savoir que la bourse n’est pas un casino, et qu’il faut être raisonnable et prudent dans ses initiatives, car il n’existe pas de sauvegarde, et le jour où vous miserez, c’est de votre argent et non de promesse, et en cas de perte, vous ne pourrez revenir en arrière.
Vous pourrez aussi débuter avec les SICAV et les OPCVM.
Ce sont des placements collectifs pour les débutants avec des investissements à capital variable, faits par des épargnants avec des fonds gérés par des portefeuilles.
Il ne sera pas nécessaire de s’occuper de la gestion des placements.
Pour les OPCVM, qui sont surtout dans les marchés asiatiques, puis d’autres sur les actions françaises, leurs performances dépendront de la spécialisation de l’OPCVM et de la qualité des gérants de portefeuille.
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