Le Coronavirus fait chuter le PIB français d'environ 6% et la France entre en récession, selon les données de l'INSEE.
La crise de Coronavirus affecte également le PIB français qui s’effondre de 6%. L’impasse économique met à rude épreuve les finances françaises et mondiales. Les activités économiques sont à l’arrêt et au premier trimestre 2020, le PIB souffre déjà d’une baisse de 6%. Ce chiffre correspond à la pire performance financière de la France depuis 1945. Officiellement, l’Hexagone est en train de connaître une période de récession.
Selon les dernières données de l’Institut national des statistiques, le Coronavirus a fait chuter le PIB français de 6%. La Banque de France est donc en crise économique. Sur la base de l’analyse de 8 500 entreprises, le chiffre d’affaires était inférieur d’un tiers environ.
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Coronavirus : la France enregistre une baisse de 6% de son PIB
L’épidémie de Coronavirus entraîne une crise économique : la France entre en récession et le PIB s’effondre de 6% dans le premier trimestre 2020. Plus précisément, l’Insee affirme que tous les 15 jours que la France reste en confinement, il y a une baisse de 1,5% du PIB. Il est clair qu’un plan est nécessaire pour soutenir le secteur économique français. Dans cette optique, le gouvernement a mis en place un plan d’aide aux entreprises en difficulté.
Ce plan a vu le jour le 17 mars et se poursuivra pour le moment jusqu’au 15 avril. Mais comme il semble prématuré de mettre fin au confinement à cette date, le plan lui-même sera probablement également destiné à une période plus longue. Tous les secteurs économiques français ont subi de graves pertes et des périodes d’inactivité totale. Surtout au cours des deux premières semaines de mars, lorsque le gouvernement sentait le terrain.
Lorsque la crise a éclaté, la fermeture totale des activités a été établie. Une fois la situation stabilisée, certains secteurs ont pu reprendre partiellement leur activité. Parmi les plus touchés, il y a les transports, la restauration et le logement. Le secteur du tourisme est à genoux. Pour des raisons évidentes, les industries pharmaceutique et alimentaire ont maintenu les normes initiales. En fait, le secteur pharmaceutique continue son activité et d’expérimenter.
Récemment, l’Institut Pasteur a autorisé la commercialisation d’un nouveau test de dépistage. Novacyt a présenté un nouveau test sérologique. Au mérite, le gouverneur de la Banque de France s’est exprimé. «Aujourd’hui, ce n’est pas le moment de compter», a-t-il dit. La crise économique est certes grave, mais la crise sanitaire et humaine l’est encore plus. La France pleure plus de 10 000 morts.
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