Sécurisez la consultation en ligne grâce au lecteur d’authentification Sésame Malgré les mesures de sécurité prises par les banques en ligne, personne n’est à l’abri du piratage, car les malveillants sont dotés des derniers équipements technologiques high-tech.
Ceci étant, certaines institutions financières comme le Crédit coopératif renforcent la protection des comptes de leurs clients en leur octroyant un lecteur d’authentification Sésame.
Il s’agit d’un boitier qui permet de lire votre carte bancaire et qui divulgue un code secret à utilisation unique.
Lors de la consultation que vous effectuerez via internet, ce code vous sera demandé afin de vous permettre d’effectuer des transactions bancaires.
Le sésame est pratique à utiliser et il pourra empêcher toute forme de piratage de votre compte en banque.
Les consignes de sécurité pour une consultation en ligne L’accès en ligne nécessite l’enregistrement d’un identifiant et d’un mot passe.
Surtout, évitez de le donner à qui que ce soit même à votre banquier.
Par ailleurs, si vous avez besoin d’enregistrer votre code et votre identifiant, faites-le sur deux endroits différents sans préciser ce que c’est.
Il se peut parfois que vous receviez des fishing.
Se présentant sous forme d’un courriel qui n’est pas pourtant adressé par votre banque, en cliquant sur le lien, on vous demandera d’insérer votre identifiant, votre mot de passe et aussi d’inscrire le numéro de votre compte ou celui de votre carte bancaire.
Soyez méfiant, car il s’agit d’un piratage afin d’accéder à vos informations confidentielles.
À savoir Pour avoir accès à votre compte, les banques en ligne vous demandent souvent votre identifiant et votre code confidentiel.
Les pages Internet d’une banque en ligne sont protégées.
Pour les reconnaitre, leur site commence par « https:// ».
Par ailleurs, un petit cadenas tout en haut de l’adresse montre que le site est verrouillé.
Vous faites face à une situation urgente ? Le prêt express est une solution financière idéale pour gérer les besoins urgents de trésorerie.
Des enquêteurs de la police judiciaire et du renseignement intérieur ont perquisitionnés mercredi les bureaux de la direction de Renault.
Ce type de mesure serait-il envisageable en France ?