Un peu d’histoire Cette démarche est née dans le cadre de la mondialisation et la forte compétition dans l’industrie automobile.
Elle arrive en Occident en 1980, grâce aux livres sur la méthode du benchmarking.
Ces livres sont écrits par les fabricants japonais, mais aussi par leurs homologues européennes.
L’objectif de cette politique d’entreprise est de renforcer la production de masse.
Une meilleure production est possible, à condition de maximiser le temps productif, réduire l’absence de qualité et conserver les cadences optimales.
La signification du terme La signification du terme L’expression est composée de 3 mots.
Chaque mot concerne une action précise.
Voici leur signification.
Maintenance Il faut maintenir un objet en bon état.
Il faut le réparer, le nettoyer, le graisser.
Il faut surtout accepter d’y consacrer le temps nécessaire.
Productive Nous devons être capable d’assurer la maintenance, mais en même temps, nous devons pouvoir produire, c’est-à-dire, ne pas pénaliser la production.
Totale Dans les 2 actions précédentes, la maintenance et la production, nous devons, obligatoirement, prendre en compte tous les aspects, y associer toutes les parties.
La mise en œuvre Voici les 3 points principaux, concernant la mise en œuvre de la TPM.
Cette méthode a une apparente simplicité et elle génère un énorme progrès.
Cela fait d’elle une méthode prisée.
Cependant, sa mise en œuvre n’est pas si simple.
L’objectif premier C’est la maximisation du temps de production.
Trop de documentation et trop d’affichages sont une charge pour les employés qui peuvent les démotiver.
Deuxièmement Il faut faire évoluer les mentalités du personnel.
Ainsi, les techniciens de maintenance ont leur rôle de conseillers techniques, accompagnant le personnel.
Il faut souligner que le fonctionnement par secteur est fortement déconseillé.
Cela veut dire qu’un technicien, responsable d’un secteur pourrait se sentir dépossédé, ce qui peut provoquer, de son côté, un sentiment de démotivation.
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