Connaissez-vous le sel : société d’échange local ? Il s’agit d’un groupement de personnes qui échangent des biens de consommation : légumes de son potager, bois de chauffage, bouture ou graines de fleurs ou de légumes si vous êtes passionné par le travail de la terre.
Bocaux en verre, des jouets avec lequel vos enfants ne jouent plus.
Des vêtements que vous trouvez démodés et qui encombrent vos armoires.
Savez-vous que des gens sont capables de les recouper et qu’ils feraient plaisir à des personnes dans le besoin ? Des compétences : couture, tricot, cuisine, informatique… tout en somme qui peut servir aux autres et que l’on ne veut plus chez soi.
Elle a, je crois, plusieurs avantages, créer un soutien, une solidarité pour des êtres humains démunis, sortir de la solitude, de l’égoïsme, de notre société très individualiste.
Si nous donnions le dixième de ce que l’on possède et qui nous est inutile, moins de malheureux se retrouveraient dans les rues.
De plus, ce n’est pas de la charité, mais un échange.
Désolée si j’insiste autant sur ce mot.
La charité dévalue celui qui le reçoit et n’apporte rien à celui qui le donne.
Tout est gratuit, y compris l’abonnement.
Les échanges sont comptabilisés en points utilisables de la façon dont il le désire.
Je suis certaine que dans la région où vous habitez elle est présente.
L’économie sociale solidaire est en voie de développement, mais n’est pas encore suffisamment représentée.
Il faut faire savoir que cela existe, en parler autour de soi, soutenir les membres.
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