Le succès commercial est bel et bien au rendez-vous concernant la branche mobile du groupe Iliad : Free Mobile, qui s’impose petite à petit dans le paysage mobile français.
Lancée en début d’année, l’offre low cost a modifié notre façon de consommer nos forfaits et téléphones. Le buzz engendré par Xavier Niel sur son offre mobile s’est transformé en succès commercial : selon un communiqué de pressé révélé ce jeudi 15 novembre par Iliad, la maison mère de Free, ce sont déjà plus de 4.4 millions d’abonnés qui ont été recrutés par Free Mobile de janvier à fin septembre, soit 6.4% de part de marché, selon ses propres estimations.
Mieux, Free Mobile estime avoir capté une part de marché de plus de 60%* sur la période sur les nouveaux abonnés avec un chiffre d’affaires total de 558 millions d’euros depuis le lancement de l’offre. Retrouvez ci-dessous le communiqué d’Iliad :
Au cours du 3 ème trimestre, le Groupe a généré 238 millions d’euros de chiffre d’affaires grâce à son activité mobile et ce malgré une importante baisse de la terminaison d’appel de Free Mobile (-31% à partir du 1 er juillet 2012), et des ventes de terminaux faibles en période estivale.
Le Groupe a maintenu son excellente dynamique de recrutement d’abonnés sur ses offres mobiles avec 805 000 nouveaux abonnés nets de résiliations, soit une part de marché de plus de 60%* sur la période sur les nouveaux abonnés. Au 30 septembre 2012, le Groupe compte 4 405 000 abonnés à ses offres mobiles, soit 6,4% du parc total.
Depuis son lancement le 10 janvier 2012, le Groupe a généré 558 millions d’euros de chiffre d’affaires avec son activité mobile. La solidité du chiffre d’affaires de cette activité est le reflet d’une répartition équilibrée des abonnés et vient attester de la pérennité du modèle commercial et économique choisi par le Groupe.
Concernant la partie « fixe » de son activité, Iliad connaît le même succès, se vantant d’un chiffre d’affaires de 584 millions d’euros et un taux de croissance de près de 9% sur le 3 ème trimestre 2012.
Ce type de mesure serait-il envisageable en France ?