Arrivé en janvier dernier en cassant les prix du marché des mobiles, Free Mobile se repose aujourd’hui en partie sur le réseau d’Orange avec qui il a passé des accords d’itinérance concernant la 3G. Cela permet ainsi au groupe de Xavier Niel de proposer des tarifs très attractifs et de remuer le marché en profondeur.
Mais tandis que le 3G n’est pas encore complètement déployée en France, une autre technologie, la 4G, fait déjà son apparition et promet aux utilisateurs des débits beaucoup plus élevés. Malheureusement pour Free Mobile, aucun accord n’a été conclu avec Orange quant à l’utilisation de ce nouveau réseau à haut débit. Ne disposant pas de licence 4G, Free Mobile devra donc se tourner vers l’un des trois opérateurs en disposant (Orange, SFR ou Bouygues Telecom) pour pouvoir proposer à ses utilisateurs, moyennant finance et accord, une telle expérience.
Du côté d’Orange, Stéphane Richard, son PDG, indique qu’il n’y aucun projet d’accord d’itinérance 4G avec Free Mobile de prévu pour le moment. Même si l’accord avec Free concernant la 3G rapporte des milliards au groupe, il semblerait que pour la 4G la donne soit différente et qu’Orange veuille garder une longueur d’avance. Free Mobile pourrait alors se tourner vers un autre opérateur, SFR, qui dispose de son côté de deux blocs. La marque au carré rouge, ou l’un des deux autres, pourrait même se voir imposer un accord d’itinérance avec le nouveau venu par l’ACERP. Chose qu’Orange avait à l’époque anticipée sur la 3G en négociant en amont avec la marque mobile d’Iliad.
Les pièces forgées se caractérisent par un fibrage suivant leur géométrie, à l’instar du grain du bois.
Voilà les dix meilleures villes plus propices à l’investissement immobilier : Nîmes se trouve à la première position, suivie par Reims et Montpellier.
Moody's remet le couvert! L'agence de notation a annoncé qu'elle envisageait de dégrader les notes de 17 grandes banques mondiales et de 114 institutions financières européennes pour refléter les risques accrus liés à la crise de la dette de la zone Euro.
Cette décision vient après que la SNCF ait revu sa politique tarifaire.