Le conseiller économique du gouvernement grec sortant a averti que le pays risquait de sortir de la zone euro en dénonçant les accords mis en place avec le FMI et l’UE.
« Si nous disons non à tout, nous sortons de l’eurozone« , a prévenu Ghikas Hardouvelis, ancien conseiller économique du chef du gouvernement Lucas Papademos.
Le pays, dont les citoyens ont largement rejeté la politique d’austérité budgétaire prônée par l’UE lors des dernières législatives, aurait toujours, selon lui, « une marge de manoeuvre » sur les mesures que le pays devrait prendre d’ici à 2015, « mais il ne faut pas la surestimer et penser que tout d’un coup quelque chose a changé en Europe parce que le peuple ici a crié non » a-t-il précisé.
« Nous avons vu les réactions des dirigeants européens (…) la seule chose qu’ils disent est que la Grèce se dirige vers la sortie de l’euro » a-t-il prévenu.
Le dirigeant du parti Syriza, équivalent du Front de gauche en France, Alexis Tsipras dénonce avec force les accords financiers passés entre la Grèce et ses bailleurs. Le parti de la gauche radicale est devenu dimanche 6 mai, la seconde force politique du pays notamment grâce à la dénonciation des plans de sauvetage imposés par l’UE et le FMI.
Les pièces forgées se caractérisent par un fibrage suivant leur géométrie, à l’instar du grain du bois.
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Moody's remet le couvert! L'agence de notation a annoncé qu'elle envisageait de dégrader les notes de 17 grandes banques mondiales et de 114 institutions financières européennes pour refléter les risques accrus liés à la crise de la dette de la zone Euro.
Cette décision vient après que la SNCF ait revu sa politique tarifaire.