Catégories: Economie
|
16 mars 2012 7 h 12 min

Sanofi rachète une société américaine

Partager

Le géant français de la pharmacie, Sanofi, va acquérir la société américaine Pluromed, spécialisée dans les dispositifs médicaux, basée à Woburn, Massachusetts.

Le géant français de la pharmacie, Sanofi, va acquérir la société américaine Pluromed, spécialisée dans les dispositifs médicaux, basée à Woburn, Massachusetts.
Pluromed a développé une technologie brevetée de polymères – Rapid Transition Polymers – qui permet l’utilisation de « bouchons » injectables dans les vaisseaux sanguins, afin d’améliorer la sécurité, l’efficacité et la prise en charge des interventions médicales. Sanofi commercialisera le produit LeGoo de Pluromed, un gel très innovant, approuvé par la FDA et l’Union Européenne, pour l’occlusion endovasculaire temporaire des vaisseaux sanguins pendant les interventions chirurgicales.

 » L’acquisition de Pluromed souligne l’engagement de Sanofi à renforcer son portefeuille de Biochirurgie « , a expliqué Alison Lawton, Senior Vice-Président, Directrice Générale de Sanofi Biochirurgie. Elle ajoute :  » LeGoo est une technologie innovante qui a le potentiel de transformer les interventions vasculaires et cardiovasculaires grâce à un contrôle rapide et temporaire du flux sanguin qui évite le traumatisme des vaisseaux, associé aux interventions classiques. « 

« Les synergies entre nos deux entreprises ont été claires dès le début », explique Jean-Marie Vogel, Directeur Général de Pluromed, Inc.  » Nous sommes convaincus que Sanofi possède l’expérience et les ressources nécessaires pour commercialiser LeGoo et promouvoir son utilisation. « 

Les plus lus

Les pièces forgées se caractérisent par un fibrage suivant leur géométrie, à l’instar du grain du bois.

Voilà les dix meilleures villes plus propices à l’investissement immobilier : Nîmes se trouve à la première position, suivie par Reims et Montpellier.

Moody's remet le couvert! L'agence de notation a annoncé qu'elle envisageait de dégrader les notes de 17 grandes banques mondiales et de 114 institutions financières européennes pour refléter les risques accrus liés à la crise de la dette de la zone Euro.

Cette décision vient après que la SNCF ait revu sa politique tarifaire.