Catégories: Economie
|
7 février 2012 8 h 05 min

Vague de froid : pas de record pour RTE !

Partager

Pas de black-out! Et pas de record pour RTE, la filiale d'EDF qui gère le réseau haute tension national! Attendu pour hier soir autour de 19 heures, le pic de consommation a bien été enregistré, mais il n'a pas atteint le record datant de 2010.

Pas de black-out! Et pas de record pour RTE, la filiale d’EDF qui gère le réseau haute tension national! Attendu pour hier soir autour de 19 heures, le pic de consommation a bien été enregistré, mais il n’a pas atteint le record datant de 2010.

RTE a en effet enregistré une consommation d’environ 96.300 mégawatts à 19 heures, tout juste inférieur au record en date de la mi-décembre 2010 (96.710 MW). Jeudi dernier, elle avait déjà presque failli battre ce record.

Aucun incident n’a été signalé sur le réseau électrique, la Bretagne et la Côte d’Azur, les deux zones les plus sensibles ont pu être approvisionnées sans problème majeur. La deuxième avait été placée en « alerte rouge » face à un « risque réel » de coupures localisées. La première en « alerte orange »

« Les prévisions météorologiques confirment le maintien de températures 9 à 10 degrés inférieures aux normales saisonnières dans les prochains jours. Il faut donc que nous restions tous mobilisés pour assurer la sécurité d’approvisionnement électrique de l’ensemble des Français », a déclaré à l’AFP le ministre de l’Energie Eric Besson.

Par ailleurs, Henri Proglio, le patron d’EDF, a annoncé qu’aucun foyer ne serait privé de courant pendant cette vague de froid : « Nous ne couperons aucun Français, aucun consommateur pendant la période de grand froid. »

Les plus lus

Les pièces forgées se caractérisent par un fibrage suivant leur géométrie, à l’instar du grain du bois.

Voilà les dix meilleures villes plus propices à l’investissement immobilier : Nîmes se trouve à la première position, suivie par Reims et Montpellier.

Moody's remet le couvert! L'agence de notation a annoncé qu'elle envisageait de dégrader les notes de 17 grandes banques mondiales et de 114 institutions financières européennes pour refléter les risques accrus liés à la crise de la dette de la zone Euro.

Cette décision vient après que la SNCF ait revu sa politique tarifaire.