France Biotech, l'association française des entrepreneurs en Science de la Vie, a tenu son premier "Conseil Stratégique des Industriels de l'Innovation en Sciences de la Vie", auquel elle avait convié les principaux partis politiques à rencontrer les acteurs des entreprises innovantes du secteur, une industrie qui représente plus de 6 000 emplois en France.
France Biotech, l’association française des entrepreneurs en Science de la Vie, a tenu son premier « Conseil Stratégique des Industriels de l’Innovation en Sciences de la Vie », auquel elle avait convié les principaux partis politiques à rencontrer les acteurs des entreprises innovantes du secteur, une industrie qui représente plus de 6 000 emplois en France.
France Biotech a invité les candidats à la présidentielle à présenter, dans la perspective du prochain quinquennat, leur vision de l’entrepreneuriat innovant.
Lors de cet événement, les représentants des cinq partis présents se sont exprimés sur les 5 axes de propositions du « Manifeste » de France Biotech, devant près de 200 entrepreneurs : Structurer la recherche et valoriser les travaux des scientifiques; créer un véritable statut de la jeune entreprise innovante; orienter les fonds publics et privés en faveur de l’innovation; orienter les politiques publiques en faveur d’une collaboration entre les grands groupes et les PME innovantes; Restructurer une politique sanitaire et réglementaire favorable à l’innovation et à ses spécificités.
« L’effort en faveur de l’innovation n’est pas assez soutenu en France comme en conviennent les cinq principaux candidats à l’élection présidentielle. Même si l’exécutif en place considère que la France est devenue attractive grâce au Crédit d’Impôt Recherche, il n’en reste pas moins qu’une maladresse effective et vitale pour nos entreprises a été commise en ce qui concerne le statut JEI. Tous les intervenants politiques s’accordent à défendre le fait que le relais de l’innovation se fera en diffusant une meilleure culture de l’entrepreneuriat. La France a su réformer ses universités. Il faut maintenant accentuer la culture entrepreneuriale en France. De plus, il faut renforcer la notion de sécurité économique qui passe, à l’évidence, par une meilleure stabilité fiscale et l’optimisation du financement dédié aux PME innovantes », souligne André Choulika, président de France Biotech.
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