Brian, jeune publicitaire écorché vif, mène le jeu entouré de son meilleur ami le tendre Michael avec qui il a une relation d’amour amitié ambiguë.
La bande est aussi constituée d’Emmet l’exubérant, de Ted le mal aimé, du post-adolescent, post-traumatisé Justin avec qui Brian entretiendra malgré lui, un amour passionnel.
Sans oublier, Mélanie et Lindsay, le couple de lesbiennes, Debbie, la mère protectrice de Michael et Ben, l’amour séropositif de Michael.
C’est dans Liberty Avenue, le quartier homosexuel que nos personnages déambulent.
Le temps d’une Gay Pride ou d’une lutte politique et sociale.
C’est au bar le Woodies, au snack le Dinner dans lequel travaille Debbie et enfin au Babylon, le fief, la discothèque que nos amis vivent, des lieux précurseurs de soirées torrides ou solitaires.
Queer as Folk met l’accent sur le mariage homosexuel, la drogue, le sida, l’homophobie.
Tout ceci dans un rythme effréné de musique et de sensualité.
Cinq années jalonnées de bonheur, d’amours transits, d’humiliation, de la mort.
Mon avis Avant tout, la série met un point essentiel sur les relations humaines.
Adulée ou controversée, Queer as Folk se démarque de part sa liberté de langage et de ton.
C’est une série innovante de part son introspection dans la communauté homosexuelle.
Introspection qui entraîne chacun à une remise en question.
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