La France des provinces : un enjeu politique Le découpage en provint jusqu’en 1789 À cette époque, l’atlas de la France se compose d’une quarantaine de provinces auxquelles se sont substitués jadis les départements et régions que nous connaissons actuellement et qui fait de notre pays la France.
Cette division en provinces s’est faite selon l’attribution de titre honorifique au bénéfice des grands Ducs ayant acquis ces vastes territoires au cours des siècles par la guerre.
Les provinces et titres honorifiques Jusqu’à la chute de l’ancien régime, l’Île-de-France est un peu plus étendue que ce que nous connaissons à ce jour.
Elle est la propriété du Roi de France.
La province appartient donc à un riche seigneur selon une conception patrimoniale du pouvoir qui a toute une emprise sur un territoire donné.
Ces mêmes seigneurs ont des vassaux sur leur province gérant des étendues plus petites.
Un découpage hétérogène Les provinces les plus puissantes Les noms qui peuvent être retenus et qui correspondent à des étendues beaucoup plus grandes qu’aujourd’hui sont : l’Aquitaine englobant la moitié sud-ouest de la France et le Languedoc pour l’autre moitié.
Le frère du Roi de France à savoir la famille d’Orléans est propriétaire de l’Orléanais qui occupe le centre de la France.
La Bretagne, la Provence, la Normandie et la Lorraine correspondent au découpage que nous connaissons à l’heure actuelle.
La France des petits comtés Ces petits comtés pour la plupart s’apparentent à ce que serait la taille d’un département de nos jours.
Ils représentaient sur les cartes anciennes la majorité des provinces de la France ancienne.
Citons l’exemple du Venaissin englobant la ville d’Avignon et ses alentours appartenant à la Papauté, le comté de Nice de la taille des Alpes maritimes, le comté de Foix allant de l’Ariège jusqu’à la ville de Toulouse ou l’Artois sur la carte de l’actuel Pas-de-Calais.
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