Ses débuts Munnerlyn Mitchell est née à Atlanta en Géorgie le 8 novembre 1900 dans une famille sudiste dont les ancêtres du côté maternel ont connu la guerre de Sécession.
Son enfance se déroule parmi les souvenirs de cette époque.
Margaret était une lointaine cousine de Doc Holliday, tireur célèbre qui participa au « Règlements de compte à OK Corral ».
Elle est obligée de quitter l’école en 1918 pour s’occuper du foyer familial.
En effet, sa mère a été emportée par la grande épidémie de grippe espagnole.
Ne tenant pas compte des conventions de classe et des traditions sudistes peu féministes, elle obtient un emploi au « Journal d’Atlanta », le plus grand quotidien du Sud.
Elle tient une chronique hebdomadaire sous le nom de Peggy Mitchell.
Elle est la première femme à avoir ce poste dans ce journal.
Margaret épouse Berrien “Red” Upshaw en 1922, mais elle le quitte en s’apercevant qu’il est très porté sur le jeu et l’alcool.
Il est de plus très violent.
Il lui inspirera le personnage de Rhett Butler.
Elle se remarie avec John Marsh en1925.
John était le meilleur ami de son 1er époux et son témoin de mariage.
La légende raconte que les deux hommes ont courtisé Margaret en même temps.
Son unique roman Le seul roman qu’elle ait jamais écrit « Gone with the wind » (Autant en emporte le vent en français), lui a couté trois ans de travail acharné mais pour quel superbe résultat ! Elle obtient le prix Pulitzer en 1937 pour son roman.
Le roman est resté l’un des plus populaires de tous les temps.
Celui-ci sera adapté au cinéma par Robert Flemming en 1939 avec Vivien Leigh et Clark Gable dans les rôles principaux.
Il sera un immense succès et obtiendra dix oscars ! Sa mort Le 11 août 1949, Margaret trouvera une fin tragique en se faisant renverser par un chauffeur de taxi.
Tombée dans le coma, elle décède au bout de cinq jours.
Elle est enterrée dans le cimetière d’Oakland à Atlanta.
Un musée est dédié à « Autant en emporte le vent » et contient, outre les décors et accessoires du film, toutes les éditions étrangères du roman de Margaret Mitchell.
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