Comme le bénéfice du doute, c’est l’âge qui tempère, on peut donc séparer le concept en deux :, un âge jeune et un âge avancé.
Le bénéfice de l’âge jeune À sa naissance tout individu bénéficie de ce concept jusqu’à son âge de raison qui fluctue en fonction, des civilisations.
On ne condamne pas un bébé qui fait n’importe quoi.
Certains régimes totalitaires pourtant condamnèrent à mort les bébés.
La guerre en général ne fait pas de distinction d’âge lorsque les cibles des bombardements sont civiles.
De l’âge de raison à la majorité, le « bénéfice de l’âge » peut s’intégrer dans 2 entités.
La condamnation des mineurs En temps de paix, cette idée du bénéfice de l’âge est directement intégrée dans l’arsenal juridique.
Le débat est en cours pour les délinquants mineurs.
Mettre un mineur en prison, c’est ne pas lui accorder le bénéfice de l’âge.
En temps de guerre, comment condamner les exactions d’enfants de la guerre comme dans les conflits récents en Afrique, ou ceux de guerre Iran Irak des années 80 ou les jeunes commandos de la Wermarcht qui n’avaient que 14-15 ans à la débâcle de 45, ont-ils eu le bénéfice de l’âge face à leurs ennemis ? Comportement et bénéfice de l’âge Dans « Zazie dans le métro » de Raymond Queneau Zazie se retrouve dans des situations où son expression est toute excusée au vu de son âge.
Elle peut dire sans broncher « Quand je serai grande, je serai instit pour faire chier les élèves ».
Quand Mozart joue devant Frédérik, II joue du clavecin en se moquant de Saliéri pour son côté musicalement convenu… On l’excuse pour son jeune âge.
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