Depuis l’adaptation de « Twilight » au cinéma, l’engouement pour la Bit–Lit ne cesse de s’accroître.
Bien qu’apparue récemment en catégorie indépendante, dans les rayons des librairies, cette littérature remonte avant les années 2000 notamment avec l’écrivain Laurell K.
Hamilton (1993, Saga littéraire : Anita Blake, Tueuse de vampires) ou la série télévisée « Buffy » (1997).
Pourtant, ce n’est qu’à la sortie cinématographique de la saga « Twilight » (2008) que ces livres se sont propagés.
Il ne se passe pas une semaine sans de nouveaux livres.
Origine de la Bit–Lit Les vampires, les loups-garous et autres entités fantastiques existent depuis des années dans la littérature.
Cependant, avant l’apparition de la Bit–Lit, ces livres étaient dans une catégorie globale : l’horreur.
Certes, Dracula et ses congénères ont toujours eu un attrait assez séduisant sur les lecteurs, mais les romans comme ceux de Bram Stoker, d’Anne Rice étaient plus « durs » dans le sens où l’horreur n’avait plus sa place et donc ne touchaient qu’un segment de lecteurs.
Or avec la Bit–Lit, les maisons d’édition peuvent toucher un plus grand nombre de lecteurs avec des ingrédients littéraires qui ont fait leur preuve depuis plus de cent ans (« Dracula » de Bram Stocker, publié la première fois en 1897).
Avenir de la Bit–Lit On assiste donc à un partage de deux grandes opinions générales : les lecteurs de Bram Stocker, Anne Rice et ceux des nouveaux auteurs tels que Stephenie Meyer, Charlaine Harris, pro Bit–Lit.
Mais la plus forte véhémence vient des inconditionnels, des lecteurs d’horreur, qui ne reconnaissent pas la Bit–Lit comme véritable littérature et qui comparent plus ça à des « romans de gare » ou des romans de la collection Harlequin.
La Bit–Lit perdurera certainement – puisqu’elle est née d’un premier courant littéraire « l’horreur » mais évoluera avec les générations de nouveaux lecteurs.
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