Analyse et critique du film Die Hard 4 : Retour en Enfer

Résumé Lorsque la Division Anti-Cyber-Criminalité du FBI est attaquée par l’action concertée de nombreux pirates informatiques, le FBI réagit en arrêtant tous les hackers américains connus.
Parmi eux, le jeune Matt Farrell (Justin Long), que John McClane (Bruce Willias) doit amener en détention.

Mais rapidement, McClane s’aperçoit que l’on cherche à tuer Farrell, pour ses liens avec l’attaque sur le FBI.
Protégeant le jeune homme, McClane l’amène au QG du FBI, où Farrell s’explique : en désactivant toute la signalisation routière, puis le réseau électrique du pays, le criminel Thomas Gabriel (Timothy Olyphant) cherche à provoquer une panique générale, pour des raisons mystérieuses.
La diversion Bientôt, McClane et Farrell remontent les traces de Gabriel, jusqu’à une centrale relais, où McClane affronte (et tue) Mai Lihn (Maggie Q), le bras droit de Gabriel.
Puis le duo apprend que Gabriel, ancien agent de la NSA, veut profiter du chaos national qu’il va créer pour mettre la main sur une banque de données inestimable.

McClane décide alors d’affronter Gabriel sur son propre terrain mais Gabriel a kidnappé Lucy (Mary Elizabeth Winstead), la fille de McClane.
Une erreur de taille, car rien n’énerve plus John McClane que de voir sa famille mise en danger.
Genèse Basé sur un script intitulé « WW3.
com », sans aucun rapport avec la franchise « Die Hard« , le film « Die Hard 4.
0 : Live Free or Die Hard » est réalisé par Len Wiseman, créateur et réalisateur des films « Underworld ».
Avec un budget de 110 millions de dollars, le tournage commence en septembre 2006.
En juin 2007, après des mois de tournage, des accidents en pagaille, et un film altéré à la dernière minute pour passer de « interdit aux moins de 17 ans » (comme les autres volets de la franchise) à « interdit aux moins de 13 ans », « Die Hard 4 : Retour en Enfer » sort dans les salles le 27 juin 2007.
Succès critique et commercial Les critiques sont moyennement convaincus, mais mettent en avant le facteur nostalgie du film, qui joue beaucoup dans l’appréciation du métrage par le spectateur.
De plus, certains soulignent la transformation progressive de McClane en héros monolithique à la limite du Terminator indestructible, perdant ainsi beaucoup du charme du personnage.
Au box-office, le film est un succès : il remporte près de 384 millions de dollars au terme de sa carrière cinématographique.