Spiderman 1 (2002) Dans « Spiderman 1″, Peter Parker (Tobey Maguire), lycéen maladroit et timide, se fait mordre par une araignée radioactive.
Il développe alors des pouvoirs surhumains, et comprend, lorsque son oncle se fait tuer par un malfrat, qu’il doit utiliser ses capacités pour le bien de l’humanité.
Mais face à lui se dresse Norman Osborn (Wilhelm Dafoe), père du meilleur ami de Peter, et richissime industriel mentalement déséquilibré : Osborn devient alors le Bouffon Vert pour menacer la ville, et s’en prendre à Mary-Jane Watson (Kirsten Dunst), voisine de Peter.
Spiderman 2 (2004) Quand « Spiderman 2″ commence, deux ans se sont écoulés, et Peter est stressé : il commence à perdre ses pouvoirs, alors même qu’un savant fou, le Dr Otto Octavius (Alfred Molina), met en danger la ville de New York avec l’une de ses expériences.
Déchiré entre ses sentiments pour Mary-Jane, et son devoir de super-héros, Peter doit alors faire un choix.
Spiderman 3 (2007) Devenu un héros reconnu de tous, Peter est heureux lorsque s’ouvre « Spiderman 3″.
Mais Harry Osborne (James Franco) est décidé à venger son père, alors même que le criminel Flint Marko (Thomas Haden Church) est la victime d’un accident le transformant en homme des sables.
De plus, une forme de vie extraterrestre s’empare de Peter, libérant son côté obscur avant de prendre possession du corps de Brock (Topher Grace), rival professionnel de Parker.
Succès commercial et critique À sa sortie, en mai 2002, le premier opus de la saga reçoit un accueil très positif, réunissant plus de 820 millions de dollars au box-office, pour 140 de budget.
Le second volet, lui, fait un peu moins bien (783M pour 200 de budget) mais est unanimement loué par la presse et les fans.
Avec le troisième volet, cependant, les choses changent drastiquement.
En conflit avec Marvel, Sam Raimi n’accepte qu’à contrecœur d’intégrer le personnage de Venom à son film, dans un script brouillon et mal dégrossi : le métrage reste un succès commercial (891M pour 250 de budget), mais la presse est beaucoup plus mitigée, et souligne un manque de motivation et de contrôle évident de la part du réalisateur.
Reboot Déçus, Marvel et Sony décident alors de se séparer de toute l’équipe des films, et de réinventer totalement la franchise.
Le résultat, « The Amazing Spider-man » (2012) est réalisé par Marc Webb, avec Andrew Garfield dans le rôle-titre.
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