Amélie Nothomb économise son vocabulaire dans l’écriture de ses romans.
Son style n’est propre qu’à elle et nous reconnaissons sa perfection dès que nous entamons les premières lignes de ses livres.
« Métaphisique des Tubes » est le roman qui nous fait découvrir, enfin, Amélie.
Pimé au prix Goncours, elle sera définitivement présente dans les programmes scolaires et deviendra une artiste incontournable de la littérature française.
Elle nous laisse à ce jour quinze livres réussis et nous enchante avec « Stupeur et Tremblement » au cinéma.
Amélie Nothomb est née en Extrême-Orient et reste profondément marquée par son enfance entre la Chine et le Japon.
Elle écrit depuis toujours et se qualifie de « Graphomane » d’où ses plus grands succès : « Hygiène de l’assassin », révélation de la rentrée en 1992, en 1993, « Le sabotage amoureux », en 1994, « Les combustibles », en 1995, « Les catalinaires », en 1996, « Péplum », en 1997, « Attentat », en 1998, « Mercure », en 1999, « Stupeur et tremblement », grand prix de l’académie française, en 2001, « Cosmétique de l’ennemi », en 2002, « Robert des noms propres », en 2003, « Antéchrista », en 2004, « Biographie de la faim », en 2005, Acide sulfurique, en 2006, « Journal d’hirondelle », en 2007, « Ni d’Ève ni d’Adam », en 2008, » Le fait du prince », en 2009, « Le voyage d’hiver » et enfin, en 2010, « Une forme de vie ».
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