Résumé Jeune garçon tranquille et discret, Marcus (50 Cent) vit avec sa mère, qu’il adore, malgré son métier de trafiquante de drogues.
Mais lorsque celle-ci est assassinée, Marcus est contraint d’aller vivre avec ses grands-parents, une vie qui ne lui sied guère.
Rapidement, Marcus se lance à son tour dans le trafic de drogues, abandonnant le lycée pour devenir l’un des sbires de Levar (Bill Duke) et Majestic (Adewale Akinnuoye-Agbaje), deux criminels locaux.
Des années plus tard, lorsqu’il retrouve son amour d’enfance (Joy Bryant), et est jeté en prison, Marcus décide alors d’abandonner totalement le monde de la drogue, pour devenir un rappeur célèbre sous le pseudonyme de Young Ceasar.
Une vie de crime Malheureusement pour Marcus, Majestic a d’autres plans pour lui : après un braquage, Marcus est abattu par le criminel à l’extérieur de la maison de ses grands-parents.
Survivant de justesse, Marcus abandonne alors totalement cette vie dangereuse, et se consacre intégralement à sa musique.
Quelques instants avant son concert, cependant, alors qu’il endosse un gilet pare-balles, Majestic ressurgit, et lui avoue avoir abattu la mère du rappeur, des années auparavant.
Furieux, Marcus et Majestic se battent, un duel que remporte Marcus.
Soulagé, et en paix avec ses démons, Marcus monte enfin sur scène, débarrassé de sa veste pare-balles.
Derrière lui, dans les coulisses, une détonation lui apprend alors que Majestic est mort, et que Marcus est enfin libéré de son passé tumultueux.
Controverse Lors du tournage du film, Jim Sheridan (réalisateur multinominé aux Oscars) et 50 Cent tentent de convaincre Samuel L.
Jackson d’apparaître dans le métrage, dans un des rôles principaux.
Jackson refuse tout net : pour lui, « Réussir ou Mourir » est un film aux valeurs négatives, sous-entendant que le seul moyen de réussir pour un Afro-Américain est le rap ou la criminalité.
Réception critique et commerciale Une opinion partagée par de nombreux critiques, qui soulignent la vacuité de ce film avec 50 Cent : l’histoire est convenue et basique, et, malgré sa nature de semi-autobiographie, n’évite pas des clichés typiques du monde de la fiction.
À sa sortie, malgré les critiques négatives, le film fait de bons chiffres lors de son premier week-end d’exploitation.
Puis il s’effondre rapidement au box-office, parvenant à peine à égaler en recettes son budget de 40 millions de dollars.
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