Il y a deux méthodes : soit on se sert des logiciels de traduction automatique, soit on s’adresse à un traducteur.
Les logiciels de traduction automatique Reverso : c’est un des plus connus et des plus simples, le choix des langues est conséquent et il offre des outils de grammaire et conjugaison et des dictionnaires en particulier le Collins.
Promt Translator : moins de choix de langues que le précédent, mais propose des traductions plus techniques dans la communication, le business, la voiture… et offre également un traducteur de site Web.
Google traduction : pour la simplicité, car on n’a pas besoin de chercher.
Il suffit d’ouvrir son navigateur Internet.
En général, on passe tous par Google en surfant.
Babylon : différent des précédents, qui se consultent directement en ligne, il faut l’installer.
On peut l’utiliser pendant un mois en évaluation gratuite, logiciel complet, mais payant, met en relation avec une communauté de traducteurs en ligne.
Mais, la traduction automatique reste toujours un peu aléatoire et perd souvent le sens de la phrase ou du texte.
Le bon complément est un dictionnaire ou un lien vers de nombreux dictionnaires comme le fait Lexilogos.
S’adresser à un traducteur Il existe un site Internet qui propose de la traduction bénévole.
C’est Freelang qui donne des liens pour des dictionnaires gratuits à installer, mais surtout dans l’onglet « service d’aide à la traduction » propose de contacter un traducteur bénévole en ligne.
Vous contactez le traducteur qui vous sied le mieux suivant ce que vous avez à traduire et vous pouvez obtenir un bon résultat avec un texte qui a du sens dans la langue choisie, puisqu’en général ils traduisent dans leur langue maternelle.
En conclusion, il est relativement facile d’obtenir maintenant directement sur internet des traductions fiables, mais ce n’est pas aussi simple que de faire un copier-coller, il faut, si on veut un document correctement traduit combiné avec des dictionnaires ou des traducteurs bénévoles.
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