Une apogée en 77 Après 3 années de tâtonnements et de changements de patronyme, c’est en 1971, que Blue oyster cult alors composé de Eric Bloom (chanteur), Donald Roeser (guitariste), Allen Lanier (claviers et guitare) et Albert (batterie) et Andrew Bouchard (basse) sort sont premier album Blue oyster cult.
Original, violent et cruel dans les textes, Blue oyster cult s’impose début 1973 avec « Tyranny and mutation » comme l’un des groupes rock de la décennie.
Sa popularité aux USA ne cesse de grandir d’une côte à l’autre par le biais de leur concerts dont l’album « live On your feet or on your knees » est issu.
Son jeu de scène et son image intriguent, certains y décelant une allusion nazie.
Secret Treaties (incluant « Career of evil » co-écrit avec Patti Smith) est, en 1974, leur premier grand succès commercial.
Après une première tournée européenne, son rock devient plus lyrique, moins sauvage.
En 1976, nouvel album, « Agents of fortune », et le titre « Don’t fear the Reaper » qui sera son unique succès internationnal.
Ce succès amène le groupe à travailler ses harmonies vocales et ses arrangements, et l’album Spectre, sorti en 1977, révèle le Blue oyster cult nouvelle mouture : « Searchin For Celine », « Nosferatu », « I love the night » est l’un des titres phare de Blue oyster cult godzilla.
Ses concerts sont spectaculaires, utilisant la technologie laser la plus avancée de l’époque, mais le public boude les 2 prochains albums » Mirrors » et « Cultosaurus Erectus ».
Blue oyster cult semble se ressaisir avec « Fire of unknown origin » dont le titre « Burnin’ for you », mais les médiocres albums suivants « The revolution by night »en 83 et « Club Ninja » en 85 marquent la fin d’un parcours.
// Depuis 1986… En Juillet 1988, Blue oyster cult refait surface avec le manifeste « heavy metal Imaginos » et le trio de guitariste Joe Satriani, Robbie Krieger, et Aldo Nova.
La tournée européenne qui suivra début 89, n’épouse plus son époque.
En 1992, il compose, la B.
O du film de Science fiction de Ted Nicolaou, Bad Manner, et quelques anciens titres sont utilisés en 1994 dans les miniséries TV, « The Stand », écrites par Stephen King.
Une nouvelle tournée européenne en 1995, et un nouvel album, décevant, « Heaven Forbid », en 98 peut être considéré comme son chant du cygne.
Malgré tout, Blue oyster cult sort un album en 1998 (Heaven Forbid) et en 2001 ( Curse of the Hidden mirror), mais surtout continue inlassablement à apparaître sur scène aux US.
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