Biographie D’un père d’origine italienne et d’une mère marseillaise, Jean–Claude Izzo voit le jour en 1945, à Marseille.
A l’école, c’est un très bon élève qui adore écrire des histoires ou des poèmes; il obtient un CAP de tourneur-fraiseur.
En 1964, il part faire son service militaire à Toulon, mais une grève de la faim le fera partir en commando disciplinaire à Djibouti.
Il rentre en 1968, et reprend son travail de vendeur en librairie et ses activités au sein de Pax Christi.
Cette même année, il est candidat aux élections législatives de Marseille.
En 1969, il se marie, et commence a écrire pour « La Marseillaise du dimanche », un quotidien régional d’opinion communiste.
En 1972, il devient journaliste à « La Marseillaise », puis 2 ans plus tard, il y devient rédacteur en chef adjoint et responsable de la rubrique culture.
En 1978, il divorce, et début 1979, il quitte « La Marseillaise » pour galérer avec des petits boulots.
En 1980, il devient pigiste au journal « La vie Mutualiste » où il devient rédacteur en 1982, pour enfin être rédacteur en chef en 1987, lorsque le journal devient « Viva », poste qu’il abandonnera quelques mois plus tard.
A partir de là, il écrit dans différents journaux et revues, sans oublier les scénarios de films et quelques chansons.
Il meurt finalement d’un cancer en 2000.
Bibliographie Jean–Claude Izzo écrit son premier recueil de poème en 1970, intitulé « Poème à haute voix ».
Suite à cela, il écrira de nombreux recueils, comme « Terre de feu » en 1972, « État de Veille » en 1974, ou encore « Braises, brasiers, brûlures » en 1975.
« Total Khéops », publié en 1995, sera adapté au cinéma en 2002, tout comme « Les marins perdus », sorti en 1997, qui trouvera sa version sur nos écran en 2003.
En 1998, il publie « Solea ».
Enfin, « La trilogie marseillaise » sera adapté sur nos petits écrans sous le nom de « Fabio Montal », avec la participation d’Alain Delon.
Laisser un commentaire