Quelques explications Au début, les bâtiments de chaque pays devaient être bâtis dans un pavillon central.
Par la suite, les constructions devenant de plus en plus imposantes, chaque bâtiment furent indépendants.
Ils sont construits selon l’architecture typique de leur pays et/ou selon la puissance mise en avant (la richesse avec le pavillon de la Russie en 1900, la technologie avec l’Atomium de Bruxelles en 1958…).
La conservation des pavillons censés être éphémères Beaucoup de ces réalisations d’architectures sont restées des symboles des villes où elles ont été construites, et ont donc été conservées, par exemple : La Tour Eiffel à Paris, datant de l’exposition de 1889.
L’Atomium, à Bruxelles, de 1958.
Le Space Needle, à Seattle, de 1962.
La Biosphère, à Montréal, en 1967… Quelques exemples L’Atomium à Bruxelles (Belgique) Il a été construit lors de l’exposition internationale de 1958 (cf photographie ci-dessous).
Les neufs sphères ne représentent pas les neufs provinces belges, comme on pourrait facilement le croire, mais représentent les neuf atomes qui constituent le cristal de fer.
Ce bâtiment est à la fois de la sculpture et de l’architecture, et mesure 102m au plus haut point.
Il est devenu un grand symbole de la Belgique.
Sa réalisation fut une prouesse technique.
Six des neuf boules sont accessibles au public, et comportent deux étages.
L’axe centrale contient l’ascenseur le plus rapide de cette époque, 5m/s.
La Biosphère à Montréal (Canada) Elle a été construite en 1967.
Plus tard, en 1995, y sera installée un musée sur les grands enjeux environnementaux liés à l’eau, aux changements climatiques, au développement durable et à la consommation responsable.
Sa construction a marqué l’histoire de l’architecture moderne.
En effet, il s’agit du plus important bâtiment de ce type dans le monde, car sa structure couvre plus de 75% de la sphère.
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