Résumé Red Pollard (Tobey Maguire) est l’héritier d’une famille ruinée par la Grande Dépression.
Désespérée, sa famille le laisse sous la garde d’un entraîneur hippique, qui fait de lui un jockey.
Mais pour arrondir ses fins de mois, Red s’essaie à la boxe illégale, un sport qui n’est pas sans risques.
De son côté, Charles Howard (Jeff Bridges) a fait fortune dans l’automobile, mais déprimé par la mort de son fils dans un accident d’auto, il part pour le Mexique, où il épouse Marcela (Elizabeth Banks).
En revenant aux USA, il croise le chemin de Tom Smith (Chris Cooper), entraîneur de course à la dérive.
Seabiscuit Ensemble, les deux hommes tentent de trouver un jockey pour Seabiscuit, un jeune cheval particulièrement agressif.
Ils finissent par choisir Red Pollard, seul cavalier possédant un caractère suffisant pour maîtriser la bête.
Petit à petit, Seabiscuit remporte alors des courses, jusqu’à ce que Red se brise une jambe dans un accident.
Contraint d’entraîner son remplaçant, George Woolf (Gary Stevens), Red mène l’équipe à la victoire contre le cheval dominant, War Admiral.
Mais, Seabiscuit se blesse à son tour : commence alors une lente rééducation, tant pour Red que pour l’animal.
Quand arrive l’heure de la dernière course, seule l’amitié de Woolf parvient à empêcher la défaite de l’ancien champion.
Réception critique Tourné en 2002 aux États-Unis par Gary Ross, par ailleurs scénariste du film, ce long-métrage s’inspire librement du livre « Seabiscuit : une légende américaine », de Laura Hillenbrand.
À sa sortie en salles, le 22 juillet 2003, « Seabiscuit » est un film assez bien accueilli par la critique, qui salue la reconstitution historique du métrage, ainsi que son impact émotionnel indéniable.
Néanmoins, la presse lui reproche en parallèle un académisme un peu trop pesant, ainsi qu’une tendance à jouer de grosses ficelles sentimentales et mielleuses, qui desservent un peu le propos.
Malgré cela, le film est cependant nominé pour de nombreux prix, dont sept Oscars et deux Golden globes.
Succès commercial Tourné pour 87 millions de dollars, le film est une déception commerciale : malgré son aura de « film à Oscars », il ne parvient à rapporter qu’un peu moins de 150 millions de dollars au box-office.
Par conséquent, il ne rentre pas totalement dans ses frais, lesquels incluent, entre autres, une campagne marketing internationale conséquente.
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