L’enfance de Pierre Dupont Il est né le 23 avril 1821 à Lyon, sur le quai n°31 de l’Hôtel Dieu, une plaque est d’ailleurs toujours présente à cet endroit là.
La première partie de son enfance, c’est-à-dire jusqu’à 9 ans, il la passe en compagnie de sa famille, avec son père forgeron et sa mère.
Il grandit au nord de Lyon, à Rochetaillée-sur-Saône.
Sa mère lui apprit à lire dès l’âge de 4 ans.
Lorsqu’il eut 9 ans, sa mère décéda des suites d’un accident.
C’est alors qu’il entra au collège ecclésiastique de Sainte-Foy-L’argentière.
C’est dans ce contexte qu’il écrivit son premier poème intitulé « Le rat et la machine pneumatique », puis une première pièce nommée « Le nid de la Sainte Vierge ».
Toutefois, il n’eut pas la vocation d’être prêtre et revint donc à Lyon auprès des siens.
Jusqu’à ses 20 ans, il eut alors plusieurs métiers.
Le premier fut ouvrier de filature textile, dans la ville de Lyon, bien connue pour ses canuts de la Croix-Rousse.
Puis, il fut employé de banque.
Sa vie adulte À 20 ans, il monta à Paris, où il passe son temps dans les goguettes.
C’est alors qu’il fait la connaissance des plus grands auteurs français tels que Victor Hugo ou Baudelaire.
Au détour des rencontres, notamment avec un académicien, il eut la chance de publier son premier livre, puis obtint un poste au sein de la rédaction du Dictionnaire de l’Académie française.
La chanson « Les Boeufs » qui le rendra célèbre fut écrite à ce moment-là.
Plus tard, en 1946, il composa « Le chant des ouvriers », participa à des manifestations contre le futur Napoléon III.
À cause de ceci, il fut condamné à sept ans de déportation.
Il s’enfuit alors à Provins et ensuite en Savoie.
Enfin, après la mort de sa femme, il revint à Lyon, mais il était alors déprimé et malade.
Malgré les efforts de ses amis pour lui remonter le moral, il sombra dans une dépression et une forte misanthropie et reporte son attention sur l’alcool.
Il mourut à Lyon le 24 juillet 1870.
Plusieurs rues Pierre Dupont existent à Lyon, notamment celle où il mourut, en face du Clos Jouve.
De nombreux statues et bustes à son effigie sont disposés à travers la ville, celle de la préfecture et de sa tombe à la Croix-Rousse.
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