2 explications sont données pour l’acronyme I.
N.
R.
I; la plus commune est « Jésus le Nazaréen, roi des juifs » (Iesus Nazarenus Rex Iudaerum ).
La deuxième est In Nomine Romanum Imperium, au nom de l’Empire Romain.
Peu évoqué sous l’antiquité chrétienne, il apparaît au XIVè siècle sous l’influence de Sainte Brigitte de Suède à ne pas confondre avec Sainte Brigitte d’Irlande qui vécut 900 ans auparavant.
Au milieu du 14ème siècle, Sainte Brigitte aurait eu une apparition christique.
Excellente en mathématiques elle interpréta le message de Jésus et décida de réciter chaque jour pendant un an 15 oraisons afin d’honorer le très précis chiffre de 5480 coups de fouets reçus lors de sa passion.
D’autres parlent de 5115 coups de fouets donnés pendant la passion.
Un débat âpre et ô combien scientifique s’en suit jusqu’à nos jours.
Trouverons nous de nouvelles archives de témoins présents sur le Golgotha pour étayer le dossier ? Difficile de dire où se trouve la vérité et quoi qu’il en soit la sanction fut rude pour le Nazaréen.
Les plus anciens crucifix en orfèvrerie sont du VIIè siècle, ceux en bois du Xè et la majorité des croix que l’on trouve sur nos routes de campagne ont été posées au XIXè et XXè siècle.
Comme S.
P.
Q.
R.
Senatus Populusque Romanus (Le sénat et le peuple romain et non pas presse quotidienne régionale); que l’on trouve sur toutes les plaques d’égout de Rome, I.
N.
R.
I.
est un des textes le plus présent dans le paysage et pourtant peu connu dans sa traduction.
Il aura fallu attendre la fin du millénaire pour que ce symbole devienne une exposition photographique polémique, mais internationale réalisée par Bettina Reims (INRI, Jésus 2000 ans après).
Il est certain que d’autres acronymes plus modernes sont plus populaires comme, ASSEDIC, OVNI, UNESCO ou PACS.
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