Résumé : années 60 Dans les années 60, un groupe d’enfants croise le chemin de Ça (Tim Curry), un clown tueur aux pouvoirs surnaturels, qui prend l’apparence de la plus grande peur de son interlocuteur.
Après la mort de Georgie, le petit frère de l’un d’entre eux, les enfants décident de se venger, et descendent dans les égouts où la créature se cache.
Mais tout ne se passe pas comme prévu, et après plusieurs décès, le groupe a un aperçu du vrai visage de Ça, une entité aux pouvoirs lumineux mortels.
Les enfants parviennent néanmoins à mettre la créature en fuite, et à la blesser, avant de se promettre solennellement de se retrouver si jamais Ça faisait son retour.
Années 90 Trente ans plus tard, Ça est de retour, et s’en prend de nouveau aux enfants de la ville.
Mike (Tim Reid), devenu historien local, rappelle donc tous ses amis, éparpillés dans le pays.
En parallèle, Ça sort un criminel de l’asile, pour se venger du groupe qui l’a blessé des décennies plus tôt.
Mais le criminel ne fait pas long feu, et bientôt, Ça doit s’occuper seul de ses proies.
Il capture la femme de Bill (Richard Thomas), pour attirer le groupe dans son antre, où il révèle sa véritable apparence, celle d’une araignée gigantesque et grotesque.
L’ultime combat se tient alors dans les profondeurs de la terre, un combat dont nul ne sortira indemne.
Genèse Réalisé et adapté par Tommy Lee Wallace (par ailleurs réalisateur d’Halloween III, 1982), « Stephen Kings’ It » est tourné en Colombie Britannique durant l’automne 1989, et arrive sur les petits écrans américains près d’un an plus tard.
Aussitôt, le personnage de Ça/Pennywise, le clown qui fait peur, s’impose dans les esprits comme une figure marquante de la fiction d’horreur.
Réception critique et publique À tel point que, malgré une dernière partie décevante (l’apparence finale de Ça n’est ainsi pas à la hauteur de l’imagination du spectateur, budget limité oblige), la mini-série fait l’unanimité auprès du public et des critiques.
« It » (« Ça ») de Stephen King devient ainsi l’une des rares adaptations filmées des romans de Stephen King à convaincre, et à s’installer durablement dans l’inconscient collectif.
En 2009, un remake est mis en chantier par la Warner, avant de se perdre dans les limbes du développement hollywoodien.
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