Caractéristiques Le premier élément qui ressort sur cette auto, c’est la facilité de conduite.
En effet, la Veyron se conduit comme une petite compacte.
La boîte à double embrayage DSG facilite la fluidité de conduite.
De plus, les quatre roues motrices rassurent vu le couple disponible, 1.
250Nm.
Dès le démarrage du gros W16, la sonorité n’est pas là.
On regrette les V12 italiens où même les flats 6 Porsche.
Une fois lancée, la poussée trouble les esprits, les paysages se floutent petit à petit.
Les chiffres parlent d’eux même, dans la partie suivante, avec notamment un 0 à 100km/h avalé en deux 2,5 secondes.
Cependant, il ne suffit pas d’accélérer.
Sans soucis, le freinage puissant est assuré par d’importants disques carbone-céramique de 400mm.
De plus, l’aileron arrière s’ouvre et sert d’aérofrein.
Impressionnant.
Pour toutes ces raisons, la Bugatti Veyron est inimitable.
Son prix non plus, puisque, à plus d’un million et demi d’euros, c’est un jouet qui restera pour la majorité un rêve inaccessible.
Quelques chiffres 300 exemplaires sortiront des usines alsaciennes.
5 personnes travaillent pendant 3 semaines pour une Veyron.
2 clefs fournies, dont une pour pouvoir aller chercher la vitesse maximum.
Les 2 couvres culasses du moteur sont à l’air libre.
La puissance (de 0 à 1001) apparaît sur un compteur à part.
Rien que le système audio vaut la modique somme de 25000€.
L’exercice du 0 à 400km/h se réalise en moins d’une minute.
78l/100km, irréel ? Pas pour la Veyron.
C’est ce qu’elle consomme pied au plancher sur la septième vitesse.
2 ailerons, dont un qui s’actionne en guise de frein aérodynamique.
300000€ d’acompte.
avant de finaliser la commande.
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