Voitures économiques : le top cinq

Les voitures « traditionnelles » Parmi les voitures les plus économiques, citons la Citroën C2.
Cette petite citadine, parfaite pour se déplacer et se garer en ville, consomme moins de 5 litres/100km sur route.
Avec 107 grammes de CO2 par kilomètre, elle est également peu polluante.
Privilégiez la version 1,4 HDI, afin d’allier le coût plus faible du diesel, et la vélocité du moteur.

Toujours dans la catégorie citadine, la Fiat Panda 1,3 JTD se classe encore mieux que sa concurrente de Citroën : avec 4l/100km sur route, elle affiche un ratio prix/consommation parmi les plus faibles du marché.
Fiable et peu coûteuse à l’achat, elle se révèle tout de même plus polluante que sa cousine C2, avec 110g de CO2/km.
La Nissan Primera 1,9 dCi est une familiale peu gourmande en essence : avec 6l/100km en situation mixte, elle est la plus frugale de sa catégorie.
Capable de transporter cinq personnes dans un confort honorable, elle est peu coûteuse à l’achat, et moins polluante que la moyenne.
Les alternatives Pour finir, complétons notre top 5 par deux voitures qui méritent le coup d’œil : Bien connue pour être la première voiture hybride vendue en masse sur le marché automobile, la Prius de Toyota n’est réputée pour être économique et écologie, grâce à son moteur essence-électricité.

En 2011, la firme japonaise a dévoilé sa nouvelle version, la Prius V, disposant d’un espace augmenté de 50% pour les passagers, par rapport à la version précédente.
Encore assez coûteuse à l’achat, son prix est amorti grâce à une consommation au moins 30% inférieur à toutes ses concurrentes.
Une familiale sobre et confortable.
Bien que peu répandue, la technologie GPL, pour Gaz de Pétrole Liquéfié, présente pourtant l’avantage du coût à la pompe, avantage renforcé à mesure que l’essence atteint des records.
Parmi les automobiles GPL, citons la célèbre Clio.
Cette citadine est l’une des voitures les plus écologiques de sa catégorie.
Seul défaut, toutes les stations en France ne disposent pas de borne GPL, et le nombre d’automobiles utilisant ce combustible reste faible.