C’est un divorce difficile, et l’affaire si elle a prêté un temps à sourire, se complique un peu plus aujourd’hui.
D’habitude si lisse et sans histoire, Matthieu Lagrive balance.
C’est dans le dernier Moto Revue, à l’occasion de l’essai par la presse de la 675 de Supersport, que le français s’est laissé aller.
“Contractuellement, on ne s’est pas entendu, on a voulu m’imposer des équipementiers au dernier moment.
J’ai déjà mes partenaires depuis des années et mes partenaires, je ne les quitte pas comme ça.
Si j’en suis là c’est aussi grâce à eux !”…PUBLICITÉPUBLICITÉRevenant sur le capotage de l’affaire au Mans, Matthieu devient plus cinglant envers BMW : “Mais dès le départ je leur avais dit que je voulais rouler avec mes équipementiers et à l’époque tout allait bien ! Et puis quand j’ai reçu le contrat, il y avait des clauses qui ne me convenaient pas.
”“Ils ont limite chercher à me nuire parce que je n’ai pas voulu aller dans leur sens.
Moi j’estime que je n’ai pas à baisser mon froc pour faire de la moto…Alors ils feront sans moi, c’est tout.
”Ce premier round en appelle d’autres, BMW n’a pour l’instant pas répondu, conscient peut-être que la vitesse française est un petit milieu qui ne faut pas brusquer et que l’on ne peut y débarquer avec des gros sabots même si on a un beau projet.
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