Depuis quelques temps, le marché automobile s’est lancé dans une mode très perceptible de jours comme de nuit: les Leds de position dans les optiques en guise de guirlandes de Noël pour toute l’année.
Si Audi a lancé la tendance pour son mode de jour permanent ultra-agressif, BMW fût le précurseur pour le mode veilleuse non-permanent, plus dans l’objectif de distinction et d’identification immédiats à la tombée du jour.
Par contre, sur le marché de la moto, à part quelques exceptions chez Ducati (Streetfighter) et MV-Agusta (1000 F4 2010), seuls les feux arrières ont vu leurs éclairages signés par des Leds.
Le temps d’allumage et le manque de fiabilité des ampoules (vibrations) ont vécu.
PUBLICITÉPUBLICITÉPour certains passionnés de Triumph Daytona 675, le but de cette image retouchée serait de souligner le regard de la sportives Anglaises de quelques Leds, jusqu’au travers de la prise d’air frontale.
On constate donc que toute idée liée à la sécurité reste assez éloignée de l’objectif cherché.
Cela n’empêche pas de facilement imaginer ce type d’éclairage se propager à l’avenir, à l’image de l’automobile.
Il y a toutefois un avantage non-négligeable pour la moto, c’est la très faible consommation des Leds, adaptée à la capacité toute relative et problématique de nos petites batteries embarquées.
Dès le contact mis, l’allumage automatique des phares est récurrent sur la plupart des motos aujourd’hui, ce qui assoit rapidement la batterie quand on a juste besoin du contact ou… de démarrer.
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