Un stand représentait Axa avec un banc d’essai pour représenter un des tests d’homologation des casques.
Il faut savoir que ce démonstrateur simule le comportement d’un casque face à choc sur un partie dure d’un véhicule.
Il était sensé représenter la validation de l’un des tests d’homologation d’un casque à 29 km/h.
En effet, jusqu’à 28 km/h, le casque protège le cerveau humain.
Au-delà de 28 km/h, le cerveau n’est irrémédiablement plus comme avant le choc.
La vitesse paraît faible.
En fait, cela correspond environ à la vitesse maxi et à la résistance autorisées par l’humain en se déplaçant par ses propres moyens…PUBLICITÉPUBLICITÉOr, avec des zones de carrosserie déformables pour absorber des énergies cinétiques inhumaines, les tests du monde automobile tournent autour des 58 km/h.
Pourtant, lors du test sur le banc présenté avec le casque, le vitesse et le choc sont très impressionnants.
L’évolution des casques restent étonnantes, depuis le premier bol en cuir jusqu’à l’intégral actuel en polycarbonate ou en fibres.
Toujours pour réduire le poids qui augmente l’inertie de la tête sur des vertèbres cervicales non-prévues à cet effet, l’emploi de l’onéreuse fibre de carbone semble se démocratiser avec une baisse de coût induite.
Toutefois, il est regrettable qu’aucun équipementier fabriquant de casques pourvus d’Airbag intégré (comme le APC espagnol) n’ait fait le déplacement, sachant que le produit existe déjà autour de 800 € (au top technologiquement mais, encore lourd et cher) sans en connaître l’efficiente opportunité.
Le casque Airbag est une autre alternative aux blousons/gilets car il est incompatible avec ces derniers.
Point de traces non-plus des casques pourvus de rétro-vision ou encore de couleurs luminescentes la nuit tombée afin d’être mieux vu…Les casques aux JNMS 2010
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