Mazda présente au Salon de Bologne la Mazda 3 Hatchback, longuement attendue sur le marché Européen.
Entièrement rénovée du point de vue du style, nous avions déjà vu la version américaine au salon de Los Angeles.
Donc une berline 4 portes qui historiquement n’est pas un modèle très intéressant pour notre marché.
Améliorée dans l’aérodynamique, avec un Cx passé de 0,30 à 0,28, elle a également augmenté en taille: 4.
46 mètres de long et 1,47 de hauteur, mais avec un poids inférieur de 15 kg par rapport au modèle précédent, suivant la même tendance introduite avec la Mazda 2.
Le département suspensions offre une suspension avant McPherson et un nouveau train arrière multi-bras, tandis que l’ABS, EBD, contrôle de traction TCS et DSC de contrôle de stabilité sont toujours présents.
Parmi la liste des options on trouve des phares bi-xénon adaptatifs et la nouvelle RVM (système de surveillance arrière du véhicule) pour couvrir les angles morts des miroirs et prévenir le conducteur de l’arrivée des véhicules.
La nouvelle Mazda 3 hérite de la nouvelle Mazda 6 le 2.
2 litres turbo diesel avec filtre à particules diesel Euro 5, version 185Cv et 400Nm de couple, qui affiche une consommation moyenne de 5,6 l/100 km (149 g / km de CO2) ou 150Cv et 360Nm de couple, pour une moyenne de 5,3 l/100 km ((140 g / km de CO2).
La gamme moteurs diesel est complétée par un 1,6 litres dénommé MZ-CD 109Cv et 240Nm de couple, optimal pour minimiser les consommation: 4,5 l/100 km à peine la consommation moyenne et 119 g / km de CO2 les émissions.
En ce qui concerne les moteurs à essence, en attendant une future version Turbo MPS, il y a un 2 litres MZR avec 150Cv et 187Nm de couple, avec un catalyseur inédit, construit avec l’aide de la nanotechnologie (réduction de 70% à 90% de l’utilisation de matériaux précieux tels que le platine et le palladium) et un 1,6 litres de 105Cv, pour une moyenne de 6,3 l/100 km et 149 g / km de CO2.
L’intérieur offre un nouveau design, toujours inspiré par un esprit sportif, qui est dominé par une nouvelle paupière centrale qui contient l’écran de navigation et l’affichage multifonctions (d’inspiration Honda Civic, selon plusieurs observateurs…) et la console centrale inclinée, étudiée pour la meilleure ergonomie du conducteur.
Le premier impact est surement très bon, à la fois du point de vue du design autant que pour la position de conduite.
Seul détail qui coince, le tissu des sièges avec une combinaison de gris-noir à l’aspect quelque peu économique.
A souligner toutefois, l’augmentation de la taille des sièges eux-mêmes, avec la possibilité de commander une option sièges électriques avec mémoire et version au maintien plus sportif.
Digne de remarques, la réduction de la sonorité interne de 4 à 12%, les nouvelles plastiques au toucher doux, une connexion Bluetooth pour les téléphones portables et les supports audiovisuels.
Nous prenons souvent pour acquis la douceur et le confort de nos véhicules modernes, mais c'est grâce à un élément essentiel du système de suspension