Ils nous font rêver souvent, on va les applaudir parfois (GP de France) mais que gagnent-ils ?Ce n’est là ni du voyeurisme, ni de la jalousie, on doit toujours être récompensé pour son talent (faut que j’en parle à mon patron).
Loin des sommes faramineuses du sport auto ou d’un Rossi, nos petits frenchies ne sont pas à plaindre !En passant de Kawasaki à Honda, on sait que Randy de Puniet a perdu 23% de ses revenus.
Avoir un statut de pilote usine c’est bien mais lorsque l’on ne confirme pas et qu’on s’en va, on y perd toujours des plumes.
Vuillemin, dans un autre genre, tire bénéfice de sa position de pilote aux USA, ce qui lui permet d’engranger des primes bien supérieures à ce qu’il est possible de gagner en Europe au niveau du cross.
Toujours en 2008, Olivier Jacques s’offrait du bon temps sur la mise au point de la machine verte, ce qui lucrativement parlant n’était pas inintéressant pour garder la forme.
johnny Aubertfigure au classement grâce aux gains obtenus lors de la conquête de son titre de champion du monde d’enduro.
Enfin, un autre champion du monde Mike Di Meglio ne figure pas au top 5 car il a payé très cher pour passer en 250 cm3 et ainsi rompre son ancien contrat de travail.
Top 5 :PUBLICITÉPUBLICITÉRandy de Puniet : 500 000€Sylvain Guintoli : 450 000€David Vuillemin : 440 000€Olivier Jacques : 350 000€Johnny Aubert : 250 000€Source l’Equipe Magazine.
Nous prenons souvent pour acquis la douceur et le confort de nos véhicules modernes, mais c'est grâce à un élément essentiel du système de suspension