Premier groupe au Canada, Chrysler négocie dans ce pays autant qu’aux Etats-Unis pour sa survie.
Pour lutter contre sa mise en faillite, il faut à tout prix conclure avec Fiat mais aussi trouver un accord avec le CAW (Canada Auto Workers), le syndicat de l’Industrie Canadienne Automobile.
C’est désormais fait.
La nouvelle convention sera sûrement votée ce week-end et consiste à réduire les coûts du constructeur (240 millions $ par an estimés soit 150 millions €).
Elle permet aussi la suppressions d’acquis sociaux et primes pendant que Chrysler change la flexibilité des règles d’embauche de ses intérimaires.
C’est une bonne nouvelle donc qui va freiner le chemin vers la faillite, mais Washington, après avoir aidé le groupe à hauteur de 4 milliards $, attend d’autres garanties avant tout nouveau coup de pouce.
Source : Les ÉchosPUBLICITÉPUBLICITÉ
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