General Motors, suite de l'aventure

Pas facile de s’y retrouver dans les aventures de General Motors.
Voici un point de la situation de l’ex-numéro 1 mondial.
Gm n’est actuellement plus côté en bourse, heureusement d’ailleurs vu que la côte ne peut pas être négative, mais cela ne l’empêchera pas de communiquer sur sa santé financière, c’est même une obligation mise en place par l’état fédéral américain qui est, pour le moment, aux commandes de l’entreprise.
L’administration américaine a d’ailleurs indiqué qu’elle se ferait le plus discrète possible dans la gestion de l’entreprise et qu’elle compte la revendre dès que les conditions financières seront réunies.
Le directeur financier de Gm, Ray Young, indique à ce sujet que Gm espère ouvrir son capital aux investisseurs privés dès la mi-2010 si les conditions financières sont réunies.
D’après lui, “il y a beaucoup d’interêt de la part de tous ceux qui seront partie prenante dans le nouveau GM pour commencer le processus de vente d’actions.
Tous s’accordent pour dire qu’il est important de faire de General Motors une société cotée en bourse.
”PUBLICITÉPUBLICITÉCe qui ne va pas faciliter la tache des propriétaires actuels de Gm, c’est que cette société a des ramifications et des filiales un peu partout dans le monde.
Elle a même des activités bénéficiaires en Russie, par exemple, sans parler d’Opel dont la situation financière était saine mais fondue dans le résultat déficitaire de sa maison-mère.
Les filiales saine financièrement n’ont d’ailleurs pas déposer leurs bilans.
L’objectif principal du nouveau Gm reste cependant de ne pas rééditer les erreurs du passé : l’entreprise avait gaspillé 40 milliards de dollars (!) en erreurs de gestion diverses et avait vu sa valeur en bourse dégringolé de 100 milliards de dollars entre les années 2005 et 2009.
Mais il y a de quoi être inquiet, les mauvaises habitudes étant traditionnellement difficiles à perdre aux Usa…