Nous y sommes, la 147 peut enfin souffler, même si elle restera le temps que la commercialisation soit effective.
Elle fait place à la Giulietta, cette auto qui a connu de nombreux périples que l’on pourra retrouver sur ce blog ici ou là.
Changeant de nom à la dernière minute à cause d’un « Milano » peu légitime puisqu’Alfa Romeo est basé désormais à Turin.
Strict minimum, seulement trois photos viennent accompagner l’officialisation, mais c’est juste assez pour se faire une idée générale de cette Giulietta.
Bref, le design est là où on l’attendait, sorte d’évolution sportive de la 147 qui aurait pu souffler ses 10 bougies, plus ramassée, un faciès de MiTo en plus agressif.
La filiation est encore plus nette à l’arrière, les feux horizontaux sont l’écho des Brera ou 159, tandis que le pavillon tente de jouer dans l’esprit coupé, aidé par les poignées arrière dissimulées dans les montants et la lunette étroite et inclinée.
Alfa Romeo GiuliettaQuant à l’habitacle, il garde encore quelques secrets car la planche de bord n’apparaît dans la seule vue que de profil.
On peut profiter néanmoins des sièges sportifs griffés di logo et de l’ambiance noire intégral à l’exception des inserts aluminium ici ou là et des rainures rouges sur les dossiers et assises.
La Giulietta prend un peu d’hormones avec +13 cm en longueur (4,35 m), +7 cm de largeur (1,80 m) et malgré les apparences 2 cm supplémentaires en hauteur (1,46 m).
Elle sera lancée initialement avec trois motorisations essence 1.
4 TB 120 ch, 1.
4 TB MultiAir 170 ch, 1.
75 TBi 235 ch et deux motorisations diesel 1.
6 et 2.
0 JTDm respectivement puissants de 105 et 170 ch.
L’équipement inclura l’Alfa DNA paramétrant le véhicule, le VDC (Contrôle Dynamique du Véhicule), le différentiel Q2 électronique et sur la 1.
75 la transmission intégrale Quadrifoglio Verde.
Lancée en mars en Europe et en France à l’occasion du Salon de Genève, elle devrait selon Alfa proposer un prix compétitif que l’on espère sous les 20.
000 euros.
Source : Alfa Romeo
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