De même que James Bond n’est rien sans son Aston Martin, Batman n’est rien sans sa Batmobile.
Dans les deux derniers films en date de la saga, la Batmobile est pourtant méconnaissable car, conformément à l’esprit des deux films de Christopher Nolan, elle a été voulu réaliste et bien loin des délires des films de Tim Burton ou de Joel Schumacher.
Et c’est tant mieux tant les scénaristes avaient poussé loin le ridicule, notamment dans le très minable Batman & Robin.
La Batmobile qui nous intéresse est en fait un tumbler, tombeur en français, engin conçu à l’origine par Wayne Tech, division hi-tech de Wayne Enterprise, et destiné à assemblé des… ponts ! D’ou une de ses fonctions les plus spectaculaires, la capacité de voler, du moins d’effectuer de longs sauts, grâce à une turbine alimentée au propane.
Autre gadget à rendre jaloux James Bond, un mode furtif destiné à rouler de nuit sans être vu.
La Batmobile héberge même une moto, le Batcycle, que l’on verra longuement dans l’épisode 2, the Dark Knight.
Et que dire des deux positions de conduites possible, l’une classique, l’autre allongée avec poste de pilotage motorisé, afin de mieux balancer quelques missiles là où il faut…Techniquement, car c’est un point commun à toutes les Batmobiles de cinéma, le tumbler existe réellement et roule même très bien malgré ses 2.
7 tonnes (!) grâce à un V8 emprunté à la Corvette Zr1 et développant ici quelques 700 ch, sans compter la poussée de la turbine à propane qui fonctionne réellement !Liens : épisode 1, épisode 2
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