Tout commence par un appel au secours “Aujourd’hui on est clairement au bord de l’abîme”, selon un syndicaliste (CFDT, majoritaire).
“Il y a un risque énorme de dépôt de bilan”.
Voici qui n’annonce rien de bon pour Heuliez surtout quand on s’aperçoit que ces propos sont étayez par les lourds retards du constructeur français pour payer ses fournisseurs.
“Il nous faut un repreneur qui investisse très concrètement dans quelques jours sur le compte en banque de l’entreprise”.
L’actuel et récent propriétaire n’a toujours pas apporté les 15 millions d’euros promis à l’époque.
Louis Petiet, représentant de BKC (Bernard Krief Consulting) a de nouveau promis vendredi de les virer comptant le 15 mars prochain…PUBLICITÉPUBLICITÉCette valse des déclarations et l’argent frais qui n’arrive pas a entraîné non seulement la méfiance des salariés mais aussi de l’Etat qui a pris en charge ce dossier.
Heuliez représente une partie du savoir faire français en matière de véhicules électriques.
Mercredi, le ministre de l’Industrie Christian Estrosi a déclaré que les discussions pour trouver un “repreneur de substitution” étaient “très avancées”.
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