Le score est mitigé – +3% et un peu plus d’un million de véhicules écoulés – mais le résultat est surtout plombé par le score catastrophique allemand d’après-prime à la casse (-30%).
Le marché outre-rhin passe même derrière le marché italien et se fait talonner par la France, tous deux en hausse à deux chiffres.
Par Pays : réveil de nombreux marchésPlus de vert, le résultat est davantage homogène en février, car à l’exception des pays de l’Est, tous les marchés ont plus ou moins retrouvé le droit chemin.
Les meilleurs exemples sont l’Espagne et la Norvège culminant à +47% et +45%, suite à des résultats exécrables l’an dernier.
Le gouffre ex-soviétique se creuse, avec pour exemple l’Estonie s’écrasant de 48% à seulement 415 unités.
A population comparable, c’est comme si le marché français n’avait enregistré que 20.
000 ventes…En Islande, la crise fait encore et toujours rage, 74 véhicules ont trouvé preneur.
Mais le pire est à trouver du côté de la Roumanie, en baisse de 63%.
Source : ACEAPUBLICITÉPUBLICITÉPar marques : les françaises ont le vente en poupeVolkswagen accuserait-il une petite faiblesse ? Avec -1,3%, c’est une petite contreperformance qui laisse encore une fois l’occasion à Renault de monter en force (+27%) à 20.
000 longueurs.
Ford se retrouve donc en tenaille française, Peugeot à +18% grattant la 4è position à Fiat, l’italien-même talonné par Citroën (+19%).
Confirmation, les japonaises sont sévèrement touchées, est-ce l’effet des rappels Toyota ? Pas si sûr, car le n°1 mondial n’a chuté que de 20%, alors que Suzuki, Honda et Mazda accusent environ -30%, à relativiser également au manque de nouveautés dans ces derniers mois.
Enfin les plus belles hausses sont détenues par les habitués Nissan (+32%) à 27.
877 unités et Dacia (+47%) à 17.
750 unités, quad Saab trouve le moyen de diviser ses ventes par deux à 1.
067 véhicules.
Nous prenons souvent pour acquis la douceur et le confort de nos véhicules modernes, mais c'est grâce à un élément essentiel du système de suspension