“Positive attitude” chez Renault.
C’est ainsi que l’on aurait envie de résumer la réélection de C.
Ghosn pour 4 ans à la tête de Renault.
Discours fleuve, plein d’élan, annonce de bons résultats, tout va bien (ou pour le mieux) chez la marque française.
Pour le boss, le groupe Renault continuera de faire baisser ses coûts de production même lorsque la crise sera passée.
Il est également nécessaire de très vite annoncer le remboursement du crédit contracté au près de l’état afin de rassurer les actionnaires et pour avoir les mains libres niveau investissements.
L’alliance avec le groupe Daimler est également important car synonyme d’économies d’échelles, ce que les actionnaires ont très bien accueilli.
Ghosn s’est également dit attaché à la France mais…PUBLICITÉPUBLICITÉ compte aussi sur elle pour le marché électrique.
Qaund je dis sur “elle”, c’est sur les pouvoirs publics que le patron jette la pression puisque comme il le souligne, le groupe a fait un certain effort de son côté et il attend un retour sur investissement :en 2015, 80% de la production des autos électriques du groupe sera faite en France, 80% de l’ingénierie est aussi hexagonale et que les usines françaises produisaient 50% de la valeur ajoutée du Groupe.
Ainsi Renault espère que les pouvoirs publics travailleront à améliorer la compétitivité de la France, rejetant de fait une partie de la responsabilité d’une hypothétique stratégie « moins française » sur les dirigeants politiques.
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