Le char d’assaut de chez Audi ne se vend pas bien, principalement pour cause de désaffection de la clientèle envers les gros SUV mais aussi à cause de la concurrence interne redoutable du Q5 qui, il faut bien l’avouer, n’a pas grand chose à lui envier.
Pour lui offrir une chance d’enrayer cette spirale négative, Audi va offrir à son Q7 le même atout que Volkswagen à son Touareg, c’est à dire une mécanique diesel d’entrée de gamme, le V6 TDI dégonflé à 204 ch.
Forcément, avec 36 ch de moins que la variante d’accès précédente, les performances prennent un coup dans l’aile avec une perte d’une seconde sur le 0 à 100 km/h et des reprises plus mollassonnes, surtout que cet obèse de Q7 pèsent largement plus de deux tonnes.
Mais le tarif en bénéficie, contrairement aux consommations qui ne bougent pas : avec 1 500 € de moins sur la facture, c’est toujours ça de prix mais à 54 200 €, le Q7 ne se brade pas pour autant.
Autre bonne nouvelle, le malus écologique passe de 1 600 € à 750 €… du moins jusqu’à la fin de l’année !
Nous prenons souvent pour acquis la douceur et le confort de nos véhicules modernes, mais c'est grâce à un élément essentiel du système de suspension