Lors de notre interview avec Axel Bruen lors du Salon de Genève, nous avions noté un de ses propos “Renault est une marque populaire”, et il avait poursuivi sur la 4L.
Cette allusion au passé, aux modèles glorieux, c’était presque annonciateur, d’autres diront presque “copieurs” comme Citroën et ses DS.
Mais voilà, d’autres ont aussi la puce à l’oreille et se plaisent dans la nostalgie.
A l’image de Fiat et sa 500, de BMW et sa Mini ou encore donc de Citroën et ses DS, Renault ne pourra pas encore longtemps ignoré le “premium” sur le marché des citadines & compactes.
Alors pour concurrencer en interne la Clio, pourquoi ne pas effectivement ressortir les anciennes gloires.
Car si aujourd’hui l’on parle d’une nouvelle R5, la 4L pourrait aussi y avoir le droit puisque l’on sait que Citroën prépare la future 2CV…Pour Renault, c’est la possibilité d’accroître sa rentabilité, on sait que les marges sur ces véhicules sont plus intéressantes surtout grâce aux programmes de personnalisation qui vont avec et qui font bien souvent grimper la note à plus de 20 000€, voire 25 000€.
Seulement, comme la marque au losange n’a pas anticipé cette tendance, lui préférant l’électrique, en combien de temps est-elle capable de réagir ?Déjà il faut sortir la nouvelle Clio puis Zoé, le planning est chargé.
R5 si elle devait voir le jour réutiliserait la nouvelle plateforme prévue pour la future Clio.
En moins de 2 ans, c’est délicat, 3 ans c’est plus jouable.
Seulement quelle sera la tendance d’ici là ? …via Edmunds
Laisser un commentaire