Entre la DB9, ses 450 ch pour 165 000 €, et la DBS avec ses 517 ch pour 241 400 €, Aston Martin s’est dit qu’il y avait bien la place de caser un nouveau modèle.
Et reprendre un patronyme qui a déjà servi entre 1988 et 1995 : Virage.
Enfin, plus qu’un nouveau modèle, la Virage serait plutôt une nouvelle variante de la famille DB qui serait un bon compromis entre les deux versions existantes.
Même si elle cherche à nous tromper avec son regard spécifique, plus perçant calqué sur celui de la Rapide, et sa proue plus agressive avec une calandre à 5 lames, on reconnaît bien les flancs et une bonne partie de la poupe de la DB9.
Sous le capot, le V12 6.
0 litres se décline en une nouvelle puissance : 490 ch.
Le couple annoncé est de 570 Nm.
De quoi autoriser un 0 à 100 km/h en 4,6 secondes et 299 km/h de vitesse de pointe.
En produit intermédiaire, elle se veut plus athlétique que la DB9 en se dotant notamment de freins carbone/céramique, d’une suspension pilotée à cinq modes de réglages et d’un mode Sport permettant un passage des rapports plus rapide.
Mais l’auto laisse un peu de marge au niveau sportivité à la DBS en conservant une boite de vitesse automatique à 6 rapports.
A bord, sept peaux de cuir différentes sont nécessaires pour habiller l’ensemble.
Un nouvel écran de navigation 6,5 pouces fait son apparition, tout comme des connectiques USB et iPod.
Des le départ, l’auto est proposée en versions coupé et cabriolet.
Les prix seront connus à Genève dans quelques jours.
Nous prenons souvent pour acquis la douceur et le confort de nos véhicules modernes, mais c'est grâce à un élément essentiel du système de suspension