La très désirable citadine chic d’Alfa Romeo, la MiTo, est un joli succès pour le trèfle mais souffre d’un défaut connu et reconnu, ses suspensions à la fois trop durs et trop souples suivant les revêtements, qui compromettaient à la fois le comportement routier et le confort.
Alfa Romeo n’ignorait pas le problème puisque le constructeur avait déjà procédé à des modifications, mais peu convaincantes.
Alfa revient une fois de plus à la charge, Harald Wester, le nouveau patron d’Alfa Romeo, d’Abarth et de Maserati, avouant même vouloir retoucher la direction de la citadine.
La MiTo reçoit ainsi des amortisseurs à deux clapets et s’inspire de sa grande soeur Giulietta pour le réglage des trains roulants et des fameuses suspensions.
Quand à la direction, il s’agit simplement d’une mise à jour du logiciel de gestion, l’ensemble restant électrique et donc soumis techniquement à un ressenti artificiel du toucher de route.
Cette version revue et corrigée de la MiTo est commercialisée depuis le 1er mars dernier.
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