Alors que l’on pensait que ce serait la Mégane 3 RS qui revêtirait la célèbre robe bleue aux bandes blanches, après les Twingo et Clio, c’est finalement le roadster Wind qui se pare de la célèbre panoplie.
A l’instar des autres modèles, pas d’évolution mécanique mais une amélioration de la qualité perçue dans l’habitacle.
En passe de devenir une marque à part entière, Gordini peut, de plus, se targuer de bonnes ventes.
Le Wind revu et corrigé se pare, outre la peinture bleue et les bandes blanches, de rétroviseurs blancs, d’un toit noir laqué, des enjoliveurs de boucliers blancs et de bossages arrières blancs également.
Chaque exemplaire reçoit en outre une plaque numérotée et un logotype Gordini Series latéral.
Dans l’habitacle, une sellerie cuir noire/bleue avec surpiqûre blanche et embossage Gordini sur les dossiers apparaît, ainsi qu’un volant gainé de cuir bleu avec surpiqûre et deux bandes blanches au point milieu, le levier de vitesses s’orne d’un soufflet bleu et d’un pommeau boule métal siglé Gordini.
L console centrale s’habille de noir laqué.
L’équipement progresse avec, entre autres, la climatisation automatique, un lecteur de CD MP3 avec prises Jack et USB, un régulateur/limiteur de vitesse, l’ESP et des Airbags frontaux et latéraux tête/thorax.
Côté mécanique, et contrairement à la Twingo Gordini, le Wind échappe au diesel.
On retrouve les deux moteurs bien connu, le 1.
2l turbo essence TCE de 100 ch et le 1.
6l essence de 133 ch.
Côté tarifs, la Wind Gordini démarre à 19 700 € pour culminer à 20 700 €.
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