Renault se sait très attaqué aujourd’hui mais demain ? Demain pour les constructeurs automobiles c’est à 5 ou 10 ans.
Laurens van den Acker s’inscrit dans cette logique pour le design, pour les moteurs électriques, la marque a prouvé son savoir faire mais il est un domaine du futur encore sous exploité : l’interactivité au sein du véhicule.
Située juste en face du campus Google et à quelques minutes à peine des laboratoires des principaux leaders du matériel et du logiciel, l’antenne de Mountain View permettra à Renault de profiter de l’excellence technologique de niveau mondial qui fait la réputation de cette région et d’être au fait des dernières grandes tendances qui modèlent les interactions entre l’usager et son véhicule.
Ce centre formera en interne son personnel, qui sera chargé de travailler sur des projets spécifiques et différents aspects de l’évolution du secteur, à mesure qu’ils se manifesteront…Des équipes resserrées travailleront dans un premier temps sur le développement de l’informatique automobile, l’ingénierie de pointe et le recrutement technologique.
« L’Alliance se situe à l’avant-garde du mouvement que connaît l’industrie automobile vers un type de mobilité durable », a déclaré Carlos Ghosn, président-directeur général de l’Alliance Renault-Nissan, qui doit s’exprimer aujourd’hui lors d’une conférence organisée au Stanford Institute for Economic Policy Research (SIEPR).
« En nous investissant davantage dans l’un des grands centres mondiaux de la recherche pour des technologies propres, nous accentuons notre avance.
» L’exposé sur les « Voitures propres » que doit faire Carlos Ghosn à Stanford mettra l’accent sur les technologies zéro émission et sur les raisons qui font qu’elles ouvrent la voie à des perspectives sans précédent, non seulement pour le secteur automobile, mais également pour l’économie dans son ensemble.
Nous prenons souvent pour acquis la douceur et le confort de nos véhicules modernes, mais c'est grâce à un élément essentiel du système de suspension